Cloître des Dames Blanches, La Rochelle 1997
Discrètement, toujours sans se faire connaître, Agnès Lévy est venue à plusieurs reprises dans “l’escalier” dit de la Girafe observer et s’inspirer des collections de têtes animales, les massacres de bovidés et cervidés africains.
Quand on sait que dans ses oeuvres antérieures elle a plutôt célébré le corps humain tels les sculpturaux portraits du carnet Hermès ou tels les corps en mouvement peints pour la chorégraphie de François Raffinot, on ne peut qu’être surpris.
Recent Comments